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Quête de Spiritualité personnelle vers l'Ascension...

Les Changements Actuels...partie 5 de 5...

ENSEIGNEMENT D'AMOUR, DE SAGESSE ET DE VÉRITÉ AUX PEUPLES DE LA TERRE
Source :http://coeurdemeraude.blogspot.com/
 
Les changements actuels

Commencez d’abord par leur dire qu’il ne se passera rien. Les gens imaginent que la guerre peut arriver, qu’un cataclysme peut arriver, et on peut entendre de certaines personnes que même la Lune à un moment donné risque de tomber sur la Terre. Les frayeurs, les craintes font partie de la nature humaine, surtout à l’approche de ces fins de cycle, en ces périodes où il y a révélations, où il y a changements, où il y a l’approche du miroir. Toutes les frayeurs et craintes ancestrales, qui sont inscrites dans votre ADN, qui sont des frayeurs et des craintes animales, ressortent, et l’individu qui n’a pas suffisamment de foi ou de détachement vis-à-vis de la mort, entre en grande angoisse.
Ce dont il faut les affranchir, c’est donc avant tout de la peur de la mort, car on ne peut pas changer les événements qui viendront, à moins que l’homme ne se transforme lui-même. Il est vain de leur expliquer qu’ils pourront être parmi les survivants s’ils intègrent telle ou telle société, s’ils font partie de tel chemin initiatique. Ce n’est pas en leur donnant un bon pour la survie que vous arriverez à leur être utile. C’est en exorcisant toutes leurs limites, en premier lieu celle de la mort. Si l’on apprend aux gens à bien mourir, on leur apprend à bien vivre, à ne plus vouloir conserver leur vie. Ils apprennent à vivre la vie.

C’est pourquoi Jésus a dit : « Celui qui voudra garder sa vie la perdra ». Si vous voulez garder votre vie, automatiquement vous déclenchez un système de mortalité, car vous vous mettez dans un système de loi, un système d’action et de réaction qui implique la mort. Vouloir absolument garder la vie physique est un instinct qui permet aux hommes de conserver leur plan physique, de poursuivre leur développement et d'assumer leur destinée. Si l’individu qui s’incarne regardait son corps comme une vieille chaussette, il ne pourrait pas accomplir toutes les épreuves qui vont se présenter à lui, arriver à des prises de conscience ni en tirer un enseignement bénéfique.
Ce qu’il faut admettre, ce n’est pas que la survie soit primordiale, mais que la libération soit primordiale. Je ne suis pas un commercial de la spiritualité. Jamais Je ne vous dirai : « Ne t’inquiète pas, si tu perds ton corps physique, tu embellis ton âme, tu gagnes au change. » Non, Je ne veux pas faire ce genre de discours. Je vous dis simplement : « Quoiqu’il se passe, si votre degré vibratoire, donc votre plan de conscience, est suffisamment développé pour que la réalité du Cosmos soit la seule réalité vibrante en vous, vous ne risquez rien. » Pourquoi avoir peur d’un trépas, d’une catastrophe? Rien n’est catastrophique. Vous n’avez pas besoin de sentir que la catastrophe vous vise, tout dépend à quel monde vous appartenez. Lorsque les voisins se tapent dessus, vous ne vous sentez pas visés, vous ne souffrez pas pour eux. Lorsque votre voisine donne une gifle à son mari, ce n'est pas vous qui êtes rouge le lendemain matin. Est-ce chez vous que cela s’est passé? Non, c’est chez l’autre.

Lorsque le monde s’écroule, est-ce votre monde qui s’écroule? Non, c’est le monde de l’autre. Mais pour celui qui a véritablement peur, aucune parole ne pourra exorciser sa peur, si ce n’est justement la confrontation avec le phénomène, la prise de conscience. Lorsque l’on a peur, rien ne peut enlever la peur, parce que le raisonnement même n’est plus possible dans l’esprit d’un individu. Ce qu’il faut, au moins, c’est leur apprendre à exorciser le sens de la mort. Si la mort vient comme un sourire, alors il n’y a pas de problème.

Je ne veux pas vous tenir ce discours pour vous annoncer que la mort est proche, pas du tout. La vie ne dépend que de vous, une vie qui dure ou une vie qui ne dure pas, peu importe, mais la vie ne dépend que de vous. Et quel bel acte que de mourir au milieu de ceux qui meurent avec la peur, de mourir sur le même terrain qu’eux en essayant jusqu’au dernier moment de leur donner la foi et la confiance. À quoi sert-il de survivre si l’on n'a pas servi à quelque chose? Servir, c’est là la survie. Celui qui donne sa vie la gagnera. Les premiers seront les derniers, les derniers seront les premiers, toutes ces phrases-là, vous devez les méditer pour approcher cette ère, pour en comprendre le sens total, afin d’exorciser la crainte des autres.

La mort est peu de chose. Je sais que tous vos guides, tous vos messies, vous ont déjà dit ces choses. Ce n’est pas pour autant que la mort ait changé sur la Terre; on y meurt toujours de la même manière. Pourtant si l’homme voulait se donner un peu la peine de transformer son esprit, il ne serait plus un mortel. Plus il veut conserver sa vie, plus il cherche à se protéger de la maladie en inventant des vaccins, des remèdes, en recourant à des interventions chirurgicales, plus il s'expose à d’autres maladies, d’autres accidents, d’autres problèmes, d’autres énigmes.
Mais si tout un peuple se met en marche dans le sens du don de soi, du partage, toutes les forces contraires s’annulent. Celui qui dans sa vie veut garder sa richesse, une autre fois s’incarne immanquablement en pauvre. Ce sont ces lois-là qui agissent. Si vous ne pensez pas à être sauvé, c’est Dieu qui vous sauvera. »

Maladies et karma

 Les maladies font partie de la vie même de la planète, et entrent plutôt dans un cadre de karma collectif que de karma individuel. Car, comme Je vous l’ai dit mille fois, il ne faut pas oublier qu’avant tout, l’humanité est une seule et même entité, et qu’il se passe beaucoup plus de choses mondialement qu’individuellement. Chacun vit les mêmes expériences. Les maladies épidémiques visent le karma collectif. Elles transcrivent une épuration dans la totalité et dans la masse de l’entité humanité terrestre, tandis que le karma individuel a bien d’autres façons de se manifester et ne choisit pas forcément la maladie.

Parfois la maladie est choisie pour un homme ou par un homme, afin qu'il puisse purger un karma, mais ce n’est pas le meilleur moyen, parce que généralement l'individu se révolte contre la maladie, il contrecarre la maladie en essayant de se soigner, de se guérir. Il n’y a pas forcément développement psychique à travers la maladie, au contraire, il y a révolte. Le karma individuel choisit plus volontiers ce qui va mettre à l’épreuve la volonté, le discernement, le courage, le contrôle de l'individu, plutôt que de sabrer son élan par une maladie qui lui ôtera toutes les énergies. Ainsi, le karma individuel se manifeste plutôt à travers des infirmités que des maladies.
Les maladies sont pratiquement toujours d’ordre collectif, elles traduisent une épuration en masse ou une initiation en masse de l’humanité. Le karma est, en fait, davantage collectif qu’individuel. Il existe le karma individuel, mais ce que vous appelez karma, c’est en fait le chemin initiatique. Lorsque vous avez manqué d’amour pour quelqu’un et qu’il vous arrive quelque chose en retour, vous pouvez appeler ça le karma individuel, mais avant tout, c’est une épreuve initiatique. Le karma, en tant que tel, est la somme de toutes les restrictions, les limites, les aberrations d’une humanité. C’est pourquoi les choses se généralisent et il semble quelquefois que le châtiment de Dieu soit injuste.

Comment tel enfant qui a si peu vécu peut-il mourir de telle ou telle maladie? Comment tel autre jeune a-t-il pu mourir dans tel accident? Comment tout ce peuple, qui a le même droit légitime à la vie qu’un autre, a-t-il pu être détruit par l’avancée d’un autre peuple? Tout cela est l’effet de la masse, l’effet de ces Rayons qui justement viennent des planètes et qui ne concernent que la masse. Mais à l’intérieur de cette masse, il se trouve des individualités, donc immanquablement cela passe par les individualités.

Conclusion

Il n’y a pas de dernier message. C’est à vous de continuer à me faire parler quand vous serez chez vous, quand vous serez face à votre problème, quand vous serez dans votre épreuve, ou au milieu de votre joie. C’est à vous de continuer la relation, de continuer le dialogue. Créer le contact soi-même, c’est être un disciple, c’est se prendre en mains, se prendre en charge, c’est s’accomplir, et automatiquement, où que vous soyez, le contact a lieu, parce que vous êtes prêts. C’est ce que vous devez développer. Tout l’effort de l’homme est d’apprendre à chanter et à rire au diapason avec le céleste, trouver la note juste. Trouver la note juste, c’est rencontrer la réalité dont nous parlions tout à l’heure. Essayez de participer à ce grand chant, de participer à ce grand déferlement, à cette folie de création heureuse. Regardez le monde avec ce même tempérament. Émerveillez-vous, essayez de comprendre et essayez de vous mettre à la place de l’Ange créateur. Qu’auriez-vous fait? Imaginez que vous puissiez créer des formes, créer votre vie, et vous vous rendrez compte de ce qu’est la création.
Je vous salue

Message de Pastor
Reçu par Omnia
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