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Quête de Spiritualité personnelle vers l'Ascension...

L'Industrie Pharmaceutique........partie 2 de 3

L'INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE : RAMIFICATIONS ET CONSÉQUENCES
par
LE DOCTEUR MATHIAS RATH

SOURCE : Entretien réalisé par l'administrateur de www.amessi,asso.fr en avril 2003 et publiée sur le site
http://www.amessi.asso.fr/article.php3?id_article=212

 Référé par : www.eveildelaconscience.ca 

 Ne vous faites-vous pas d’ennemis en vous attaquant à des groupes d’intérêts aussi puissants que l’industrie pharmaceutique ?

 

J’ai à faire à ces puissances depuis le jour où je suis devenu le successeur du double prix Nobel Linus Pauling. Dès le début, j’étais pleinement conscient que, à elle seule, la découverte sur le lien entre le scorbut et les maladies cardiaques allait déstabiliser pour toujours le marché de plusieurs millions de dollars de l’industrie pharmaceutique. C’est donc en toute connaissance de cause que j’ai pris la décision de reprendre le combat pour libérer l’humanité du joug de cette industrie de nature frauduleuse et immorale.

 

Avec du recul, il y a quelques leçons importantes à tirer. Si un scientifique, un homme peut avoir une influence telle sur le cours des événements et s’il peut faire plier la plus grande industrie d’investissements du monde, cela ne tient pas uniquement à sa force. Si j’ai pu, avec quelques autres, préparer le déclin de la plus grande industrie d’investissements du XXe siècle, c’est parce que sa nature même était basée sur un leurre : promettre la "santé" et vendre encore plus de maladies.

 

Une fois l’artifice dévoilé, il n’y avait plus de défense pour empêcher son déclin. Ainsi, pendant toutes les années au cours desquelles j’ai confronté l’industrie pharmaceutique et où je l’ai accusée publiquement de frauder et de mettre en péril la vie de millions de personnes, elle n’a jamais osé répliquer ouvertement. Et elle n’a jamais remis en question mes découvertes scientifiques.

 

En revanche, quelques faiseurs d’opinion du domaine médical et médiatique, dépendants de l’industrie pharmaceutique, se sont efforcés de me discréditer en tant que personne. Mais tel est le destin de toute personne qui ose se battre pour ce qui est juste. J’espère que de nombreux jeunes, ainsi que les générations futures pourront tirer des leçons de cet exemple et, quand leur temps sera venu, auront le courage de se battre pour ce qu’ils considéreront comme juste.

 

En ce qui concerne ma sécurité personnelle, beaucoup de personnes me demandent si je ne crains pas pour ma vie. Ils font référence au tout dernier livre de John le Carré La constance du jardinier et au fait que le modèle commercial de l’industrie pharmaceutique n’a aucun respect pour la vie. John le Carré a lui-même écrit dans l’épilogue de son livre que, en travaillant à son oeuvre, il s’était rendu compte que "au regard de la réalité avec l’industrie pharmaceutique, ce livre se lisait comme une carte postale de vacances".

 

Lorsque l’on se trouve, comme moi, dans une situation privilégiée de pouvoir faire bouger quelque chose en faveur de la vie de millions de personnes pour les générations à venir, on prend la bonne décision. Proclamer la vérité haut et fort et partout est la meilleure façon de se protéger des groupes d’intérêts à qui on s’oppose. La série de lettres ouvertes que j’ai publiées au nom de la fondation dans de nombreux pays n’était qu’une nouvelle étape dans ce processus.

 

Quels étaient les objectifs globaux de votre campagne d’informations "Make Health - Not War" (oui à la santé, non à la guerre) ?

 

Depuis le tout début de la crise internationale actuelle, les hommes du monde entier considéraient avec méfiance la soi-disant "guerre contre le terrorisme" annoncée par l’administration Bush. Dans chaque manifestation contre cette guerre, peu importe l’endroit où elle avait lieu, on voyait des affiches qui révélaient les vrais motifs de cette guerre : le pétrole.

 

Si le pétrole est l’unique objectif, il n’est pas nécessaire d’attiser partout une hystérie collective ; il est inutile de transformer les États-Unis en état paramilitaire et il est inutile de créer un service "Big Brother" comprenant 67 000 employés espionnant leurs concitoyens - tout cela sous le prétexte de la "sécurité intérieure de la patrie". Cela n’a de sens que si l’on a peur de quelque chose dans son pays et que la population toute entière représente un danger potentiel pour ses intérêts économiques et menace son rôle politique.

 

Comme je l’ai expliqué, à plusieurs reprises, dans mes lettres ouvertes, le principal bénéficiaire de la crise actuelle, de la guerre contre l’Irak et d’une possible troisième guerre mondiale est l’industrie pharmaceutique. En août 2001, alors qu’elle s’attendait à être confrontée, partout dans le monde, à des procès, qui l’auraient affaiblie, l’industrie pharmaceutique n’a pas été seulement le principal bénéficiaire des événements tragiques du 11 septembre. Dans un dernier effort pour stabiliser la perte en crédibilité de leur affairisme frauduleux, les groupes d’investissements, qui soutiennent cette industrie, devaient s’attendre à la perte de tous leurs investissements.

 

Il faut comprendre qu’il n’y a pas un seul secteur de la société qui ne soit concerné, quand on est capable de créer, selon un modèle basé sur la fraude, la plus grande industrie d’investissements au monde et que cette dernière est dévoilée. C’est exactement ce à quoi est actuellement confronté le groupe Rockefeller. C’est pour cette raison que Donald Rumsfeld, un ancien cadre d’entreprises pharmaceutiques multinationales, a été nommé au poste de ministre de la Défense, une fonction qui décide essentiellement du lieu et de la durée des bombardements. C’est pour cette raison que l’industrie pharmaceutique a été la seule grande source de financement de la compagne électorale de George Bush, y compris celle des élections législatives de novembre 2002 qui ont eu lieu à la moitié de son mandat, et qui ont été largement dominées par le thème de la guerre.

 

Il ne faut pas se laisser tromper par ces groupes d’intérêts qui, confrontés à leur propre fin, sont prêts à entraîner l’humanité entière avec eux. Il y a 500 ans, une situation similaire a provoqué, en Europe, la transition entre les temps médiévaux et les temps modernes. Confrontés à leur propre fin, les dirigeants de l’époque se sont lancés dans une guerre contre leur propre peuple. Au cours de la "guerre de 30 ans" (1618 - 1648), un tiers de l’Europe a été détruite et des dizaines de millions de vies ont été sacrifiées.

 

Pouvez-vous expliquer ce parallèle historique qui mit fin au Moyen-Âge ?

 

Il y a 400 ans, des millions de gens simples ont pu, en Europe, apprendre à lire et à écrire grâce à l’invention de l’imprimerie et aux premiers livres traduits du latin. Cette "libération de l’analphabétisme" a mis fin au Moyen âge en Europe et a été à l’origine de ce que l’on appelle aujourd’hui les temps modernes. Aucune force armée, aucune guerre, aucun dictateur ne pouvait empêcher ces millions de gens simples de faire usage de leur droit d’apprendre à lire, à écrire, de leur droit au savoir et à une vie digne.

 

De même, aujourd’hui, aucune guerre, aucun renoncement aux droits civils, aucun Etat "Big Brother" ne pourra empêcher l’humanité de se libérer du joug du cartel pharmaceutique. Beaucoup trop de personnes sont déjà mortes sans raison, beaucoup trop d’économies politiques ont déjà été ruinées par les intérêts de ces entreprises ; maintenant les peuples du monde comprennent ce qui se passe et continueront à lutter pour leur droit à la santé naturelle.

 

Notre campagne "Make Health - Not War" (oui à la santé, non à la guerre) dévoile les intérêts de l’industrie pharmaceutique dans cette guerre actuelle et ceux qu’elle aura dans la prochaine guerre mondiale, déjà annoncée par l’ancien directeur de la CIA James Woolsey. C’est également un appel à des actions pour empêcher que cela ne se produise. Chacun peut, partout dans le monde, bénéficier tout de suite des grandes avancées dans le domaine de la santé naturelle. Chaque foyer, chaque cabinet médical, chaque hôpital et chaque organisme de prévention qui profitent des avantages de la santé naturelle privent les groupes d’intérêts pharmaceutiques de l’argent dont ils ont besoin pour financer la prochaine guerre. C’est la raison pour laquelle ces deux secteurs sont si étroitement liés.

 

La population mondiale prend conscience que les groupes d’intérêts qui tolèrent encore, pour des raisons financières, que des millions de personnes meurent de maladies et ceux qui entraînent désormais l’humanité vers une troisième guerre mondiale sont les mêmes. Et la population mondiale se rend compte que ce secteur de la santé est l’unique point stratégique qui permet de changer le sort de notre planète et de la faire évoluer vers un destin plus sain et plus pacifique. L’équation est simple. Il y a une poignée d’investisseurs qui veulent continuer à tirer profit des maladies et de la guerre et il y a les intérêts de plus de 6 milliards de personnes qui veulent vivre dans un monde sans maladie et sans guerre. L’issue de cette bataille est certaine. Nous, les hommes du monde, la gagnerons, mais il faut pour cela que de plus en plus de personnes nous rejoignent.

 

Qui a financé votre campagne "Make Health - Not War" ?

 

Cette campagne a pu voir le jour grâce à la contribution des gens que les thérapies naturelles ont déjà aidés. Notre institut de recherches fournit le savoir et les programmes de santé naturelle qui permettent aux personnes ayant fait un infarctus, souffrant de défaillances cardiaques, faisant de l’hypertension, ayant des problèmes circulatoires dus au diabète, un cancer, de l’ostéoporose ou souffrant d’autres maladies de bénéficier des avancées de la recherche sur les vitamines et de la médecine cellulaire en matière de santé naturelle. Des centaines de milliers de personnes et de patients, sur les 5 continents, profitent déjà de ces avancées. Dans beaucoup de cas, les avantages qu’ils en retirent sur le plan de leur santé dépassent de beaucoup tout ce qu’ils ont connu avec les produits pharmaceutiques.

 

Par conséquent, non seulement ils tirent profit de l’utilisation de ces produits naturels, mais ils souhaitent également, afin d’aider ceux qui ne connaissent pas encore ces avancées, que ce savoir soit diffusé dans le monde entier. Cette campagne à donc été soutenu par des personnes qui, dans la plupart des cas, ont eux-mêmes bénéficié des avantages de ce en quoi ils croient et ce pour quoi ils luttent dans leur propre vie et dans leur propre corps. Sans cela, cette campagne d’informations mondiale n’aurait pas été possible.

 

Quels sont les résultats les plus importants de votre campagne "Make Health - Not War ?"

 

En dénonçant l’industrie pharmaceutique comme l’instigateur et le principal bénéficiaire de la crise internationale actuelle et de la guerre, nous avons apporté une contribution importante au fait qu’aucune légitimité et aucun mandat n’ait été accordés à cette guerre par la communauté internationale. Ceux qui l’ont menée peuvent, si les peuples du monde s’unissent pour le réclamer, être tenus pour responsables devant des tribunaux internationaux pour le restant de leur vie.

 

La publication de mes lettres ouvertes dans le "New York Times" a été choisie à dessein. Le New York Times paraît dans la ville qui héberge les Nations Unies. Rarement dans l’histoire de cette institution, autant de politiciens, de chefs d’Etat et de représentants de gouvernement ne se sont réunis au siège des Nations Unies qu’en février et en mars derniers. Les informations contenues dans mes lettres ouvertes et la dénonciation de l’industrie pharmaceutique en tant que principal profiteur de cette guerre sont connues dans presque tous les pays du monde. En outre, de nombreux journaux, surtout dans les plus petits pays ayant un siège au Conseil de Sécurité des Nations Unies comme le Chili, le Pakistan, le Cameroun etc. - mais également la Turquie - ont publié mes lettres ouvertes dans leur pays. Le fait que des millions de personnes dans ces petits pays ont été sensibilisés et informés sur les véritables raisons de cette guerre, a été un facteur déterminant dans le fait que leurs gouvernements ont résisté à l’énorme pression politique et aux tentatives de corruption économique des États-Unis et de la Grande-Bretagne.

 

Ces deux pays sont les plus grandes nations exportatrices de produits pharmaceutiques du monde. Le produit de la vente de deux cachets sur trois revient dans ces pays, quel que soit l’endroit où ils sont vendus. Et c’est précisément cet argent qui fait que des politiciens de la Maison Blanche et du Downing Street sont corrompus et dépendants ; et c’est encore cet argent qui sert, aujourd’hui, au financement de la guerre au Moyen-Orient, ainsi que de la "guerre mondiale" déjà annoncée. Le second objectif atteint réside dans le fait que cette guerre contre l’Irak ne s’est pas transformée en un holocauste nucléaire ou biochimique. En dénonçant les intérêts cachés de cette guerre, nous avons également dénoncé le fait qu’une guerre avec des armes de destruction massive aurait automatiquement servi de base stratégique à l’industrie pharmaceutique pour établir des lois martiales partout dans le monde et abolir des droits civils dans les tous les pays, afin de consolider son monopole.

 

La survie de l’industrie pharmaceutique était, et continue d’être tributaire d’une guerre faisant intervenir des armes de destruction massive sur le champ de bataille ou par le biais d’attaques organisées sur le territoire national et ce dans les plus brefs délais. Il est également un fait historique que chaque jour, chaque semaine qui passe sans que rien ne se produise, prive l’industrie pharmaceutique de la possibilité d’imposer des lois muselières globales et ainsi de consolider son monopole sur le "commerce avec la maladie" en général. En dénonçant mondialement ces plans, nous avons, jusqu’à présent, empêché les milieux d’investissements de l’industrie pharmaceutique d’atteindre leurs objectifs.

 

Soit dit en passant, la publication de ces lettres ouvertes se lit comme un roman d’espionnage ou un épisode de l’inspecteur Colombo. Lorsque l’officier de police n’est pas certain du crime d’un suspect éventuel, il le confronte avec quelques pièces à conviction afin de tester sa réaction. Telle était également mon intention lorsque j’ai publié ces lettres ouvertes. Si j’avais raison, et je savais que c’était le cas, les "criminels" se devaient d’agir.

 

Et quelle ne fut pas leur réaction ! A peine 24 heures (1 jour) après que l’industrie pharmaceutique ait été dénoncée comme étant le plus grand profiteur économique de la tragédie du 11 septembre et de la guerre actuelle, le soi-disant "cerveau" du 11 septembre a été présenté à l’opinion publique mondiale stupéfaite. Après la traque des prétendus cerveaux à l’origine de la tragédie du 11 septembre, menée par les armées de plusieurs pays à travers les monts de l’Hindukush pendant un an et demi, un cheik a soudain été trouvé, dormant paisiblement dans un appartement au Pakistan, et a été arrêté.

 

Pendant toute une semaine, la presse américaine s’est alimentée de cette "capture sensationnelle"- qui, de toute évidence, était une distraction organisée par les médias. Mais presque personne en dehors des États-Unis n’a de toute façon cru à ce coup monté médiatique. La presse internationale soupçonnait déjà un plan caché - et cela, même dans la presse des "alliés". Le journal britannique "The Independent" a titré, à propos du cheik soudainement découvert : "What a convenient discovery" (Quelle découverte opportune).

 

Les réactions au Congrès américain et dans les administrations du pouvoir exécutif ont été encore plus significatives. De nombreuses personnes douées de bon sens en Amérique avaient déjà soupçonné l’existence d’un plan secret derrière l’attaque du 11 septembre. Elles ont noté avec stupéfaction que des avertissements précis émanant du FBI et concernant l’agression avaient été ignorés, que des dirigeants du FBI avaient contraint au silence ceux qui voulaient s’exprimer au sujet de cette attaque. Plus suspect encore a été le fait que, pendant plus d’un an, les parents des victimes tuées dans le World Trade Center se sont vus refuser une enquête officielle sur le contexte de cette tragédie. Les autorités qui ont bloqué cette enquête n’étaient rien d’autre que la Maison Blanche et le Président Bush lui-même. Les parents de ces victimes ne voulaient rien d’autre que la vérité. Si cette attaque avait réellement été l’œuvre de "terroristes", n’importe quel gouvernement aurait eu intérêt à mener une enquête, sans perdre de temps et avec tous les moyens disponibles, pour connaître la vérité - non seulement dans l’intérêt des proches, mais aussi dans celui de l’opinion publique mondiale. Vous vous demandez ce que l’administration Bush pouvait avoir à cacher en bloquant une enquête officielle ?

 

Ces soupçons ont encore été renforcés par mes lettres ouvertes exposant aux membres du Congrès américain ébahis, au pouvoir exécutif américain et à une large opinion publique que, 70 ans auparavant, un événement semblable avait déjà eu lieu. Le 28 février 1933, le parlement allemand a été incendié. Cet événement aussi a immédiatement été utilisé pour supprimer des droits civils et faire voter des pleins pouvoirs (Loi sur la sécurité intérieure) qui sont devenus le fondement légal d’une dictature économique et politique, ainsi que le fondement de la seconde guerre mondiale.

 

Aujourd’hui, il est un fait historiquement établi que cette attaque du parlement allemand ("Reichstag") avait été soigneusement planifiée d’avance par les groupes d’intérêts qui s’en sont servi afin de préparer la société allemande à leur guerre de conquête - la seconde guerre mondiale. Il est également un fait établi que la loi des pleins pouvoirs qui supprimait la plupart des droits civils, avait déjà été préparée à l’avance. Aujourd’hui, 70 ans plus tard, la communauté politique américaine a appris qu’elle a été trompé exactement de la même façon. Et ceux qui ont mis au point ce projet, ne se sont même pas donnés la peine d’en changer la formulation. Il y a 70 ans, le principe légal visant à abolir les droits civils était appelé "Gesetz zum Schutz von Heim und Reich"(Loi pour la protection de la Patrie et du Reich). Ceux qui ont tiré parti de la tragédie du 11 septembre l’ont baptisé, analogie frappante, "Loi sur la sécurité intérieure". Ces "législateurs" ont-ils réellement cru que la population mondiale ne serait pas capable de regarder 70 ans en arrière et de voir ce que dissimule un tel plan ?

 

Un tollé s’est élevé dans les rangs du Congrès, dans le monde politique et au sein des pouvoirs exécutifs. Ils n’avaient soutenu l’administration Bush que parce qu’ils croyaient à une "guerre contre le terrorisme". A présent, ils apprenaient l’existence d’un plan secret, échafaudé par ceux qui dirigent actuellement à la Maison Blanche. De plus, les politiciens américains et les administrations du pouvoir exécutif américain savaient que la population américaine - leurs électeurs - lisent également le New York Times et leur poserait des questions auxquelles ils ne pourraient peut-être pas répondre.

 

Les téléphones ne sont pas restés silencieux à la Maison Blanche et au ministère de la justice des États-Unis. Anxieux, les politiciens et les législateurs signifiaient clairement qu’ils ne voulaient pas être mêlés à un "coup" de ce genre au nom du Groupe Rockefeller et de ses marionnettes politiques à la Maison Blanche.

 

La réaction n’a pas tardé. Quatre jours plus tard, - dans une manœuvre surprise -, le ministre de la Justice américain John Ashcroft a dû présenter à l’opinion publique la Loi baptisée "Patriot Act N° 2". Le public américain, stupéfait, a ainsi appris que les lois en vigueur contre le terrorisme étaient soit disant insuffisantes et devaient être étendues. Le point central de ces modifications n’était rien d’autre qu’une immunité générale pour toutes les administrations du pouvoir exécutif des États-Unis, qui exécutaient les ordres de l’administration Bush.

 

Ainsi, d’un trait de plume, Bush, Ashcroft et les autres marionnettes politiques du Cartel ont tenté d’assurer l’immunité à tous ceux soutiendraient leurs actes malhonnêtes et leurs crimes de guerre. S’il restait encore la moindre interrogation concernant la véritable toile de fond du 11 septembre et le véritable objectif de la crise internationale actuelle, les réactions de l’administration Bush aux informations contenues dans mes lettres ouvertes devraient ouvrir les yeux de toute personne douée de bon sens en ce monde.

 

Avez-vous eu des réactions de personnes vivant aux États-Unis ou à New York ?

 

Nous avons reçu des réactions venues du monde entier, d’universités réputées, d’organisations gouvernementales, de médecins et, bien sûr, de nombreux patients et de bien d’autres personnes. La réaction la plus courante a été un geste de remerciement pour leur avoir ouvert les yeux sur le lien entre la lutte pour la survie de l’industrie pharmaceutique et la crise internationale actuelle. De nombreuses personnes ont demandé de plus amples informations, soit dans le domaine des thérapies naturelles alternatives, soit des informations relatives aux dessous du "commerce avec la maladie" de l’industrie pharmaceutique.

 

Il convient de noter tout particulièrement les réactions en provenance des États-Unis où de nombreuses personnes ont réalisé que leur propre gouvernement ne représentait plus les intérêts de la majeure partie de la population, mais essentiellement ceux d’un petit groupe d’entreprises, parties prenantes dans les intérêts pétrochimiques et pharmaceutiques Rockefeller. Si vous viviez à New York et si vous aviez constamment pensé qu’il y avait quelque chose qui ne collait pas dans la version officielle de la tragédie du 11 septembre, vous seriez reconnaissant que quelqu’un vous explique enfin les raisons pour lesquelles votre propre gouvernement bloque une enquête officielle indépendante.

 

Je pense qu’il est grand temps que non seulement la population de New York, mais également la population du monde entier apprennent la vérité sur les dessous de la tragédie du 11 septembre. D’autant plus qu’elle a été utilisé pour réitérer ce coup monté à l’échelon planétaire en contraignant le monde entier à se lancer dans une croisade contre des terroristes illusoires.

 

Des personnes m’ont demandé si je pensais réellement que Bush et son entourage auraient délibérément risqué la vie de 3000 personnes le 11 septembre. Ma réponse est simple : il s’agit à peu près du même nombre de personnes qui meurent tous les 10 jours ( !) à cause des effets secondaires mortels et inconnus des médicaments.

 

Étant donné que, d’une part, la Maison Blanche bloque une telle enquête et que, d’autre part, elle utilise constamment cet événement pour entreprendre une guerre mondiale, ce sujet n’est plus une question nationale propre aux États-Unis. Il est du devoir des Nations Unies d’exiger et d’entreprendre une enquête indépendante sur cette tragédie. Cette demande est légitime parce que New York est non seulement le siège des Nations Unies, mais aussi parce que l’ensemble des discussions et des débats dans ce forum mondial ont, pendant un an et demi, été éclipsés par cette tragédie. Il est temps que les hommes et les gouvernements du monde entier réagissent et que les questions relatives aux dessous du 11 septembre trouvent une réponse. Et il serait préférable pour le gouvernement des États-Unis de coopérer davantage dans le cadre de cette enquête internationale - sous peine d’y perdre sa crédibilité.

 

Pensez-vous que l’attaque du 11 septembre transformera les États-Unis en une dictature ?

 

C’est déjà le cas. Nous ne parlons pas de la dictature d’un seul homme ou d’un parti politique. Nous parlons de la dictature d’un petit groupe d’intérêts économiques qui utilise le gouvernement actuel comme une marionnette pour consolider ses intérêts mondiaux. Déjà en janvier de cette année, un groupe de citoyens inquiets, rassemblés autour de Ralph Nader, de l’actrice Susan Sarandon et de représentants de l’organisation écologique Green Peace, a publié une mise en garde de toute une page dans le New York Times intitulée : "Big brother is not coming - He is already here" ("Big Brother n’est pas en train de s’installer - il est déjà là"). Les termes "Big Brother" font référence au roman de George Orwell, "1984", dans lequel il décrit une société contrôlée, manipulée et abusée par un petit groupe d’intérêts particuliers ayant directement accès à chaque aspect de la vie privée. En effet, une grande partie de ce scénario est déjà réalité aux États-Unis. Il est possible, sans qu’aucune ordonnance d’un tribunal soit nécessaire, de passer au crible les comptes bancaires, de lire les e-mails, de mettre les gens sur table d’écoute, d’ouvrir des lettres, de perquisitionner dans les maisons et de violer d’autres droits civils élémentaires. Toutes ces lois ahurissantes ont été justifiées par les événements organisés du "11 septembre" et sous le prétexte d’une "Guerre contre le terrorisme".

 

L’un des droits de l’homme les plus fondamentaux que l’actuelle administration Bush s’efforce de retirer à la population américaine est le droit d’accéder librement aux informations sur les thérapies naturelles. La loi garantit ce droit civil au peuple américain depuis l’adoption à l’unanimité de la "Dietary Supplement Health and Education Act" en août 1994. L’accès aux thérapies naturelles et aux informations sur les moyens naturels de prévention et de traitement des maladies est un objectif si sacré pour le peuple américain qu’il n’en tolérerait pas sa restriction en temps de paix. Plus de 50% de la population américaine absorbe quotidiennement des substances micronutritives pour améliorer son état de santé. La seule façon de supprimer ce droit est donc de l’imposer dans le cadre d’une "loi martiale".

 

Et c’est précisément pour cette raison que l’administration Bush ne cherchera pas à établir la paix au Moyen-Orient - bien au contraire. Elle utilisera l’Irak de l’après-guerre comme tremplin pour intensifier une crise internationale et provoquer d’autres guerres où il sera fait usage d’armes de destruction massive. Sans le règne d’une terreur mondiale de cette ampleur, il lui serait impossible d’atteindre ces objectifs !

 

La population américaine et le monde entier doivent se montrer extrêmement vigilants et essayer de déchiffrer cet imbroglio subtil de tactiques et d’astuces, employées par le cartel et ses actionnaires politiques pour atteindre leurs vrais objectifs sous la mascarade d’une prétendue "Guerre contre le terrorisme".

 

Vous dites que le cartel pharmaceutique tirerait profit d’une guerre où interviendraient des armes de destruction massive. Pouvez-vous approfondir ce point ?

Suite 3 de 3

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